Alarme
Le cerveau répond à un événement « stressant » (réel ou imaginaire) par une production d’adrénaline et en activant l’axe hypothalamo-hypophysaires avec production de cortisol par les glandes surrénales. Le cortisol active en retour deux zones du cerveau: le cortex cérébral pour qu’il réagisse au stimulus stressant (immobilisation, fuite, attaque) et l’hippocampe, qui va apaiser la réaction. La mise en place d’une réponse adaptée engendre un sentiment de satisfaction.
Résistance
Si une solution adaptée n’a pas été trouvée et que l’événement stressant se reproduit, le corps et l’esprit sont à chaque fois mis à contribution. A ce stade, il est essentiel de se pencher sur les évaluations, les jugements portés sur l’événement stressogène, ce n’est qu’à ce prix qu’une solution adaptée pourra être trouvée.
Epuisement
L’organisme soumis à de trop fréquentes réactions au stress a épuisé ses ressources. Un sentiment d’impuissance s’installe. L’immunité est affaiblie, des troubles somatiques sont susceptibles d’apparaître. Il est préférable à ce stade de consulter le plus rapidement possible.