La recherche moderne a confirmé les intituitions géniales d’Epicure, de Descartes, de Nietzsche, qui ne disposaient ni des études scientifiques, ni des procédés d’investigation modernes du cerveau: en changeant notre façon d’évaluer le monde, nous pouvons adapter au mieux nos émotions et nos comportements. Paradoxalement, lorsque l’on a envie de changer sa vie, il est préférable, si l’on ne veut pas tomber de Charybde en Scylla, d’envisager de se changer la vie.
(iconographie: Scylla, détail de la face A d’un cratère en cloche attique à figures rouges, 450-425 av. J.-C., Musée du Louvre)